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Pierre R. Chantelois

Pierre R. Chantelois

Après avoir oeuvré une dizaine d’années dans le secteur privé des communications (radio-télévision), je me suis orienté vers le secteur de la Fonction publique du Canada et du Québec du 1970 à 2005. J’ai occupé des fonctions de conseil, de gestion et d’analyste. Je me suis particulièrement intéressé à la télédiffusion des débats parlementaires, aux services en ligne gouvernementaux et aux communications stratégiques gouvernementales. J’ai touché au domaine des relations internationales et du développement international au sein du gouvernement du Canada et auprès d’une importante université francophone du Québec. J’ai oeuvré enfin auprès d’une société internationale d’informatique à titre d’analyste-conseil avant de prendre ma retraite en 2006.

Tableau de bord

  • Premier article le 18/01/2007
  • Modérateur depuis le 07/02/2007
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Derniers commentaires



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 18 avril 2007 21:09

    @ slashbin

    Notre gouvernement conservateur, minoritaire, souhaiterait bien mettre fin au contrôle des armes à feu, écrasé qu’il est par le lobby canadien. Les conservateurs ont interprété la fusillade du Collège Dawson de Montréal comme la preuve de l’inutilité du registre des armes à feu. Une allégation réfutée par les trois partis de l’opposition qui défendent le registre à grand renfort de statistiques. Ils affirment que les homicides ont diminué de 30 % depuis l’instauration du registre en 1995. Quant aux corps policiers, ils soutiennent qu’ils ont recours à cette banque d’informations quelque 5000 fois par jour.

    Mme De Sousa, la mère de la jeune Anastasia assassinée au Collège Dawson, a demandé au premier ministre Stephen Harper de maintenir le registre des armes à feu. À Toronto, Hayder Kadhim, un des survivants de la tuerie du collège Dawson, a lui aussi demandé un contrôle plus strict des armes à feu et le maintien du registre fédéral qui les répertorie. La population québécoise ne souhaite absolument pas la libre circulation des armes. Et beaucoup de canadiens se joignent à cette prise de position.

    Croyez-vous sincèrement que nous n’en sommes pas conscients ? Voilà monsieur ce qui nous distingue de nos voisins.

    Les sources sont de la Société Radio-Canada.

    Pierre R.

    Montréal(Québec)



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 18 avril 2007 12:45

    @ l’auteur

    Excellente analyse pour un observateur étranger et ami de la France. Je ne manquerai pas de consulter également l’analyse proposée par jps.

    Bon dimanche à la France.

    Pierre R.

    Montréal (Québec)



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 18 avril 2007 12:41

    Excellente analyse. Nous qui sommes voisins de cette Amérique hyper armée, nous en constatons quotidiennement les effets. Dans le même État où s’est produit le drame, la Virginie, existe un équivalent de la National Riffle Association. Que pense-t-elle de ce drame ? « Un troupeau de moutons ». C’est l’image qui vient à l’esprit de Philip Van Cleave lorsqu’il pense aux étudiants qui ont été froidement abattus par Cho Seung-hui en Virginie. Selon le quotidien La Presse : « Des moutons parce qu’ils étaient tous désarmés et donc «  impuissants », explique cet informaticien quinquagénaire, président d’un des principaux groupes du lobby des armes à feu de cet État, la Virginia Citizens Defense League. C’est pourquoi le lobby des armes à feu en Virginie compte accroître ses pressions pour que les étudiants âgés de 21 ans et plus puissent porter une arme sur les campus, moyennant l’obtention d’un permis. « C’était une vente tout à fait ordinaire », a dit Markell qui n’a pas fait personnellement cette transaction. « C’était un étudiant qui avait l’air tranquille et propret. Nous ne vendrions pas nos armes si nous pensions un seul instant qu’un achat était suspect » [...]

    « Toutes les fusillades qui se sont arrêtées soudainement au cours des dix dernières années ont été stoppées parce qu’un citoyen respectueux de la loi et victime potentielle possédait une arme », a fait valoir Larry Pratt, chef de file des Gun Owners (propriétaires d’armes) of America.

    C’est ce que risque de penser de plus en plus cette Amérique armée jusqu’aux dents ! Il faut armer les étudiants sur les campus !

    À Washington, Dana Perino, la porte-parole adjointe de la Maison Blanche, estime qu’il est trop tôt pour rouvrir le débat sur le contrôle des armes. Plus de 30.000 personnes succombent chaque année à des blessures par balles et le nombre d’armes aux mains de particulier est plus élevé que dans n’importe quel autre pays.

    Pierre R.

    Montréal (Québec)



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 18 avril 2007 12:36

    A l’auteur

    Vous excuserez cet envoi qui est hors sujet. Mauvaise manipulation. Ah l’informatique !

    Pierre R.

    Montréal (Québec)



  • Pierre R. Chantelois Pierre R. - Montréal 18 avril 2007 12:32

    Dans le même État où s’est produit le drame, la Virginie, existe un équivalent de la National Riffle Association. Que pense-t-elle de ce drame ? « Un troupeau de moutons ». C’est l’image qui vient à l’esprit de Philip Van Cleave lorsqu’il pense aux étudiants qui ont été froidement abattus par Cho Seung-hui en Virginie. Selon le quotidien La Presse : « Des moutons parce qu’ils étaient tous désarmés et donc «  impuissants », explique cet informaticien quinquagénaire, président d’un des principaux groupes du lobby des armes à feu de cet État, la Virginia Citizens Defense League. C’est pourquoi le lobby des armes à feu en Virginie compte accroître ses pressions pour que les étudiants âgés de 21 ans et plus puissent porter une arme sur les campus, moyennant l’obtention d’un permis. « C’était une vente tout à fait ordinaire », a dit Markell qui n’a pas fait personnellement cette transaction. « C’était un étudiant qui avait l’air tranquille et propret. Nous ne vendrions pas nos armes si nous pensions un seul instant qu’un achat était suspect » [...]

    « Toutes les fusillades qui se sont arrêtées soudainement au cours des dix dernières années ont été stoppées parce qu’un citoyen respectueux de la loi et victime potentielle possédait une arme », a fait valoir Larry Pratt, chef de file des Gun Owners (propriétaires d’armes) of America.

    C’est ce que risque de penser de plus en plus cette Amérique armée jusqu’aux dents ! Il faut armer les étudiants sur les campus !

    À Washington, Dana Perino, la porte-parole adjointe de la Maison Blanche, estime qu’il est trop tôt pour rouvrir le débat sur le contrôle des armes. Plus de 30.000 personnes succombent chaque année à des blessures par balles et le nombre d’armes aux mains de particulier est plus élevé que dans n’importe quel autre pays.

    Pierre R.

    Montréal (Québec)

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