• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

TDK1

TDK1

Sexe ? Homme - Age ? 50 ans (un tout petit peu plus...) - Situation familiale ? Marié, un fils - Niveau d'études ? Sup (mais il y a bien longtemps...) - Race ? Celte (waouh, ça va faire jaser...) - Religion ? Catholique Pratiquant ? Oui Doctrino-langue de bois ? Ah ah ! NON - Devise ? "Ex nihilo nihil" et en français, ça donne quoi ? "rien n'est issu du néant", autrement dit "tout a une origine, pour comprendre il faut chercher cette ou ces origines" - Profession ? CGPI. (Conseiller en Gestion de Patrimoine) - Engagement politique ? Pas en ce moment Ça chauffe ? Non, en vieillissant j'ai de moins en moins envie de faire de concession et rien de l'éventail des partis ne me satisfait vraiment - Sujets de prédilection ? Économie (macro comme micro), Politique (au sens de Polis, la cité ; je me fous des querelles entre hommes ou femmes "politiques"), Religions, Histoire - Autre chose à ajouter ? Je ne sais pas, la couleur de mon....

Tableau de bord

  • Premier article le 18/08/2010
  • Modérateur depuis le 02/09/2010
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 234 551 5366
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 1270 728 542
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • TDK1 TDK1 28 février 2015 13:49

    @JL
    Les banksters, comme tu dis, ont proposé, les élus, conseillés par leurs directeurs financiers, ont accepté. 


    Dans les banksters, que tu sembles mettre tous dans le même panier, il y a des établissements bancaires très différents les uns des autres qui ont fait, en matière de financement public, des propositions très différentes les unes des autres.

    As tu remarqué que les villes plantées avec l’affaire de la parité FS/€ sont TOUTES clientes Dexia ? Dexia était une banque publique, appartenant aux Etats français (majoritaire), belge et luxembourgeois (pour une tte petite part). C’est donc un établissement publique créé à l’initiative de l’Etat français avec comme vocation première le financement des collectivités locales qui a planté ces dernières. 

    Donc, dans cette affaire l’acceptation du terme « bankster » n’est pas celle que tu sembles donner. Les bandits, en l’occurrence, sont les politiques qui se mêlent de banques, comme c’est toujours le cas (cf Crédit Lyonnais par exemple...). 

    Pourquoi, pour ma part, je considère qu’en plus des politiques qui ont « fait » Dexia, les principaux responsables sont les politiques qui ont souscrit les emprunts ?

    Parce que contrairement à ce qu’ils disent, ils étaient parfaitement au courant des risques que comportaient les emprunts structurés. Bon, je modère mon propos. Les élus des grandes et moyennes collectivités étaient au courant... Les petites, celles dont d’ailleurs personne ne parle, c’est différent. Les préfets qui cautionnaient systématiquement les offres DEXIA (LA banque publique des collectivités) alors qu’ils faisaient chier pour entériner les emprunts faits auprès d’autres établissements sont les principaux responsables. Les petites collectivités n’avaient pas de personnel compétent et s’en remettaient à l’avis du préfet. 
    Par contre, les moyennes et grandes collectivités avaient des directeurs financiers parfaitement au courant des emprunts structurés et des risques inhérents. Je l’affirme d’autant plus péremptoirement que je connais celui qui pendant près de vingt a assuré ce module de formation au sein de l’organisme de formation permanente (CNFPT) des fonctionnaires territoriaux (un socialiste bon teint qui a fait toute se carrière comme dir fi de villes socialistes. Aujourd’hui en retraite, je l’embrasse s’il me lit et l’invite à raconter quelques anecdotes sur ce forum....). Mais voilà, les commerciaux de Dexia avaient.... « des arguments » plus forts et convaincants que la raison pure. 

    Alors oui, j’affirme, je répète que ce scandale des emprunts structurés est la conséquence de l’immixtion des politiques dans le secteur bancaire (et non l’inverse) et la conséquence de la pourriture et/ou de l’incompétence d’élus qui ne sont en rien responsabilisés. Prendre aujourd’hui des mesures consistant à étaler les dettes sur l’ensemble de la collectivité, c’est pénaliser les habitants de collectivités qui ont été bien gérées, dans lesquelles les élus ont pris les bonnes décisions. C’est donc, comme toujours avec nos socialistes (cf les politiques de justice, de santé, d’éducation...) une prime au délinquant et une incitation à se détourner de la sagesse et de la raison.


  • TDK1 TDK1 28 février 2015 13:16

    @alberto
    Ouais, c’est exact, mais c’est quand même bien les socialistes qui nous bassinent avec la nationalisation des banques (Te souviens tu du Crédit Lyonnais géré par les énarques socialistes ? Dexia était une banque d’Etat...) et c’est quand même bien les socialistes qui viennent de prendre cette mesure inique, même si elle est approuvée par « l’ensemble de la classe politique » !



  • TDK1 TDK1 1er novembre 2014 14:49

    Ça vaut le coût de répondre ?



  • TDK1 TDK1 1er novembre 2014 14:38

    Bonjour,Il me semble que dans votre commentaire, vous voulez dénoncer un aveuglement idéologique de ceux que vous qualifiez d’euro libéraux. Or, dans votre démonstration, c’est vous qui faites preuve d’un aveuglement idéologique. Comment peut on écrire « L’obsession de la réduction du déficit en période de crise entretient une spirale qui nous conduit tout droit à la récession et au chômage de masse. Moins de croissance, c’est moins de recettes publiques, donc plus de déficit, donc encore plus d’austérité pour prétendre le résorber... Et quand le PIB progresse encore moins que prévu, mécaniquement, le déficit s’accroit. Ubuesque ! » quand le problème de la France est précisément un déficit record (33% du budget....) associé à un chômage de masse, à une stagnation (en réalité une récession à périmètre constant puisqu’on a opportunément changer les règles de calcul du PIB...) et à une pression fiscale record ?


    Votre aveuglement idéologique vous empêche de voir que la GB a un chômage moindre que celui de la France, que l’Italie, l’Espagne, la Grèce voient leur chômage diminuer quand le notre augmente et que tous ces pays sont en croissance quand nous nous sommes seuls à connaître la récession.

    La réalité, c’est que votre aveuglement idéologique vous empêche de voir que l’Etat et la puissance publique en général ne génère AUCUNE richesse. Leur fonction consiste à consommer la part de richesse qu’ils ont capté. SI le montant de leurs dépense est supérieur à leurs recettes, ils ont recours à l’emprunt qui vient aloudir encore leur besoin les années suivantes, donc la pression fiscale, leur seule ressource. Or, il faut comprendre que tout ce que la puissance publique capte n’est pas réinvesti et ne génère pas de nouveaux profits. C’est cette logique qui crée la paupérisation.

    Vous semblez aimer la France. Vous souvenez vous de l’époque où la France était en tête de tous les pays du monde dans quasiment tous les secteurs ? Dans le nucléaire avec les centrales PWR revues et corrigées par les ingénieurs français, dans l’aviation avec Concorde et Airbus, dans l’aérospatiale avec Kourou et ce qui allait devenir Ariane, dans les trains avec le TGV, dans l’industrie automobile, dans la médecine etc etc... J’ai emmené mon fils visiter le barrage de la Rance, il était suffoqué de voir que la France dans les années 60 a mis au point une technologie d’énergie renouvelable dont elle est encore aujourd’hui quasi seule détentrice. Sur le plan militaire, nous étions la troisième puissance militaire mondiale, détenteurs d’une force de frappe stratégique autonome. Sur le plan diplomatique, nous avions des ambassades dans le monde entier et déterminions seuls notre politique. Sur le plan de l’enseignement, nous étions classés parmi les premiers (entre 3 et 5) pays du monde. Sur le plan de la santé, nous étions premier ! Classés par l’OMS comme le meilleur pays en terme de santé.

    Pourtant, la pression fiscale, était moindre. Pourtant, le budget de la France était à l’équilibre et quand il connaissait un léger déficit, c’était justifié par des investissements ou des participations à des investissements qui devaient dégager de la rentabilité à terme.

    Réclamer aujourd’hui que l’Etat cesse de dépenser plus que la pression fiscale ne lui rapporte est la condition sine qua non pour espérer pourvoir relancer l’économie. Tout ce que l’Etat pompe ne génère aucun investissement, donc aucune richesse à terme, donc aucune relance. Seul le secteur privé peut relancer la croissance du pays. Il faut donc cesser de le ponctionner, tant au niveau individuel qu’au niveau entrepreneurial. 

    Le vrai problème ne vient pas de ce que Bruxelles semble exiger, mais du fait que ce soit une supra puissance étrangère qui soit obligée de l’imposer à une classe politique qui n’est obsédée que par les élections, son électorat et son clientélisme et n’a plus aucune notion morale ni nationale. 


  • TDK1 TDK1 30 octobre 2014 18:19

    220 00 enfants tués par an en France par avortement et dont la mort est prise en charge par l’argent public... 

    Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression qu’entre le problème animal et le problème de l’assassinat des enfants, je ne hiérarchise pas les choses de la même manière...

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv