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Christian Labrune

Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 décembre 2018 15:25

    Je vous le dis en vérité que la paix ne sera réelle que si elle est fondée sur la justice et non sur l’occupation des terres d’autrui. Il n’est pas admissible que vous demandiez pour vous-mêmes ce que vous refusez aux autres
    ===============================
    @njama

    A ce compte-là, la France « occupe » injustement « les terres d’autrui » dans les banlieues de l’est parisien où les « implantations » de Français, sont encore très nombreuses, même si plus de cinquante mille Français de confession juive ont déjà préféré partir depuis le début de ce siècle.
    La Judée et la Samarie, avec la Galilée, sont le berceau d’une culture admirable, et nous ne sommes pas moins les héritiers de Jérusalem que d’Athènes.
    Les Israéliens n’ont jamais prétendu exterminer ou chasser les minorités chrétiennes ou musulmanes. Les 250 mille arabes qui n’ont pas fui en 48 ont vu, depuis, leur population multipliée par 7 et ils sont citoyens de plein droit du pays.
    Ceux, en revanche, qui croupissent encore dans les « camps palestiniens » du Liban resteront à jamais des parias sans droits politiques et que les lois en vigueur écartent de la plupart des emplois.
    Pendant que s’accroissait le nombre des Arabes en Israël, la population juive du Maroc, par exemple, a été divisée par 57, passant de 230 mille à moins de 4000.

    Votre propagande n’est pas seulement ridicule, elle est mensongère et odieuse.



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 décembre 2018 14:32

    Il voulait transformer un conflit qui était religieux en un simple conflit territorial entre deux nations.

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    " C’est une nouvelle écriture de l’Histoire

    « dit Sadate à la Knesset. C’est à cette réécriture négationniste qu’essaiera de s’employer l’UNESCO il n’y a pas si longtemps, s’efforçant de faire croire aux imbéciles que les royaumes d’Israël et de Juda n’auraient jamais existé, que Jérusalem aurait été de tout temps, et plus de mille ans avant la naissance du Chamelier de La Mecque, une ville musulmane.

    Mais c’est parfaitement idiot. Le fameux conflit n’a jamais été un conflit territorial. L’ONU en novembre 47 avait préconisé deux états. Le lendemain du 14 mai 48, jour de la déclaration d’indépendance d’Israël par Ben Gourion, rien n’aurait pu empêcher ceux qui n’étaient pas encore des »Palestiniens« de proclamer la naissance de leur état, mais ils ne voulaient accepter aucun partage : les terres qu’évoque la Bible hébraïque leur appartenaient de toute éternité, de la mer au Jourdain. La guerre immédiatement déclenchée par cinq états arabes coalisés permettrait vite d’exterminer ou de foutre à la mer les Juifs, comme le préconisait depuis des années le mufti nazi de Jérusalem. Contre toute attente, ce fut donc la »nakba« , et elle fut parfaitement méritée.

    Le conflit qui perdure est un conflit religieux dont l’objectif du côté palestinien, tout aussi bien que celui des mollahs iraniens, est purement génocidaire. Aux yeux des crapules du Hamas et de certaines factions de l’Autorité, tirer à l’arme automatique sur des civils pour les tuer à un arrêt de bus (comme récemment cette jeune femme enceinte qui a perdu son enfant), c’est de »l’héroïsme« .

    Nous connaissons en France, désormais, les mêmes formes de terrorisme, en plus sanglant parce que nos forces du renseignement et de police n’ont pas encore derrière elles soixante-dix années d’expérience. Quels »territoires occupés« , en France, et quelles »implantations" de Français dans ces territoires pourraient jusfifier d’aussi abominables exactions ?

    Ce sont les prétentions d’un islam génocidaire qui sont en cause, et aussi longtemps que nos politicards incultes ne voudront pas le comprendre et en tirer les conséquences qui s’imposent, au lieu de faire ami-ami avec les islamo-nazis de Téhéran, les choses iront de mal en pis. Pas seulement en Israël !



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 décembre 2018 13:32

    Une autre description de l’œuvre « monopigmentaire » de Soulages, par François Jaunin : « Ses toiles géantes, souvent déclinées en polyptyques, ne montrent rien qui leur soit extérieur ni ne renvoient à rien d’autre qu’elles-mêmes. Devant elles, le spectateur est assigné frontalement, englobé dans l’espace qu’elles sécrètent, saisi par l’intensité de leur présence. Une présence physique, tactile, sensuelle et dégageant une formidable énergie contenue. Mais métaphysique aussi, qui force à l’intériorité et à la méditation. Une peinture de matérialité sourde et violente, et, tout à la fois, d’immatière changeante et vibrante qui ne cesse de se transformer selon l’angle par lequel on l’aborde. » (« Noir lumière », éd. La Bibliothèque des arts, 2002).

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    Ce texte, qui ne signifie rien, constitue un excellent exemple du type de discours publicitaire à l’usage du gogo, que j’évoquais précédemment.

    « monopigmentaire », entre guillemets, pour dire qu’il n’utilise que du noir, mais ça fait quand même « plus savant » !

    « Ses toiles [...] ne renvoient à rien d’autre qu’à elles-mêmes ». Certes, on l’avait bien remarqué !

    « Le spectateur est assigné frontalement ». Qu’est-ce que ça veut dire, être assigné frontalement ? Etre assigné à quoi ? A la révérence ? A claquer les talons et à lever le bras, comme devant les pires emblèmes ?

    « englobé dans l’espace qu’elles sécrètent ». Ce serait la définition même du piège à cons !

    « Une présence physique ». Qu’est-ce qui, dans le monde réel, n’a pas une présence physique ?

    « dégageant une formidable énergie contenue ». On n’est pas loin du discours des crétins du new age qui sentent partout des « énergies », des « vibrations ». Bref, c’est parler pour ne rien dire ou choisir de caresser les plus cons dans le sens du poil.

    « Mais métaphysique aussi ». Très bien ; comme ça, c’est complet. Tout est dans tout, et réciproquement ! Ca ressemble à un discours de curé parlant de l’incarnation. Ceux qui ont fréquenté le catéchisme y trouveront leur compte.

    « Une peinture de matérialité sourde et violente, et, tout à la fois, d’immatière changeante et vivante.... ».La matière est l’immatière, la physique est EN MEME TEMPS métaphysique. Quelle salade !

    On croirait lire les Mémoires d’un névropathe du pauvre Schreber évoquant le pouvoir extraordinaire des « rayons de Dieu ». Mais lui avait été enfermé, non sans raison.



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 décembre 2018 12:47

    mmbb

    L’art moderne (comme si l’art, à chacune de ses époques, n’avait pas été « moderne » !) est un véritable piège à cons ; il n’a pu se développer qu’à cause d’un effondrement général du niveau de culture. Sans le discours grossièrement publicitaire qui accompagne « l’oeuvre » et la commente, il n’y a absolument rien, et celle d’un Soulages, par exemple, n’est qu’un ensemble de taches noires sur fond blanc, lesquelles, bien disposées, peuvent certes avoir une fonction décorative, mais la décoration relève de l’artisanat, pas de l’art.

    Je me souviens très bien de galeries « d’art », du cinquième arrondissement, dans les années 80, où l’on pouvait voir, typiquement : une grosse poutre vermoulue au sol, et dans un coin, un tas de cordes. Le mouvement support-surface avait alors le vent en poupe. Le visiteur, évidemment, a priori, ne pouvait rien comprendre et se serait senti très con sans quelque texte qu’on mettait à sa disposition : une manière de manifeste pseudo-philosophique pour expliquer la chose, dans un jargon propre à faire s’esclaffer quiconque disposait d’un minimum de culture philosophique, mais pour les gogos qui étaient en dessous de ce minimum, ce discours abscons marchait mieux que la pub pour des ménagères qu’on n’essaie même plus de convaincre que telle marque de lessive « lave plus blanc ».

    C’est un peu ce qui se passe dans la politique aujourd’hui : des sortes de Diafoirus cooptés par d’autres Diafoirus, bardés de certitudes mal étayées, prétendent expliquer au citoyen ordinaire muni de son seul bon sens qu’il faut croire ce qu’ils débitent, à défaut de pouvoir comprendre ce qui, de toute façon, excèdera toujours sa misérable insuffisance.

    Quand l’Art a rompu avec l’intelligibilité, il n’est plus rien. Face au Jardin des délices de Jérôme Bosch, ou au grand polyptyque de Van Eyck par exemple, beaucoup de choses nous échappent ; on sent bien qu’après des dizaines d’heures d’observation et d’étude on n’aura fait qu’approcher, sans l’épuiser, le sens de l’oeuvre, et que le discours analytique qu’on pourrait alors produire ne pourrait être que fort réducteur. Que dire devant la brioche de Chardin, plus brioche que n’importe quelle brioche à la boulangerie du coin ? Rien, le tableau qu’on a pu voir et revoir cent fois se suffit parfaitement à lui-même. Dans le cas de l’art dit « moderne », si on supprime le discours promotionnel, il n’y a plus rien qu’une camelote purement décorative pour un intérieur de bobo du goût le plus exécrable.



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 décembre 2018 02:01

    Moi, je préfère encore l’International Klein blue. Ca va encore plus loin sur un même chemin qui ne mène nulle part. Pas de forme, de la couleur pure, et toujours la même. Dans l’ordre de la pure insignifiance, le carré blanc sur fond blanc de Malevitch est complètement enfoncé !

    Ah, l’art moderne ! Quel grand art ! Je ne songe jamais à la « Fontaine » de Marcel Duchamp, le grand précurseur, je l’avoue, sans en être ému jusqu’aux larmes. Ne pouvant y soulager ma vessie, je pleure.

    Je ne mets cependant rien au dessus du courant ouvert par Piero Manzoni dans les années 60 avec ses « merdes d’artiste ». Je m’étais longtemps demandé si le contenu de ses boîtes de conserve correspondait bien à la promesse de l’étiquette et s’ils n’y avait pas tromperie sur l’affichage, mais non : plusieurs, à cause de la corrosion interne, ont fini par s’ouvrir et dégager une puanteur qui ne pouvait pas faire douter de ce qu’elles renfermaient. Un art parfaitement « authentique », donc.

    Mais le plus grand artiste de ce siècle restera probablement Wim Delvoye, l’immortel créateur de Cloaca.

    Il y a eu et il y a peut-être encore des bronzes d’Ivan Theimer à une porte du palais de l’Elysée, mais il serait temps de faire disparaître ces productions figuratives d’un archaïsme vraiment odieux. Quelle meilleure place pour Cloaca que le Palais de l’Elysée ? Ce serait l’exact équivalent, dans le domaine des arts plastiques, de ce qu’on a pu y voir et entendre le jour de la fête de la musique. L’oeuvre doit coûter fort cher, mais je ne verrais pas d’un mauvais oeil qu’une partie de mes impôts servît à en financer l’acquisition pour la République. Je serais extrêmement flatté de devenir, très modestement, l’un citoyens-mécènes de l’immense artiste.

    http://bornedartcade.canalblog.com/archives/2010/04/30/17745077.html

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