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Christian Labrune

Christian Labrune

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  • Premier article le 06/02/2012
  • Modérateur depuis le 31/07/2013
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Derniers commentaires



  • Christian Labrune Christian Labrune 16 décembre 2018 12:06

    Si la rationalité participe à la foi - ou à toute démarche d’intelligence du monde -, le rationalisme en est la négation.

    =====================================
    @Samson

    Ce que vous écrivez n’a aucun sens. De quoi le rationalisme serait-il la négation quand vous écrivez qu’il « en » est la négation ? La négation de la foi ? de la rationalité ? de l’intelligence du monde ?
    Pour appréhender la vastitude des « champs du réel », si tant est qu’il existe une « réalité », vous allez peut-être nous expliquer que la révélation biblique ou coranique est plus efficace et pertinente que les grandes avancées du XXe siècle en quête aujourd’hui d’une théorie de grande unification ?
    Je voudrais bien savoir ce que la foi religieuse pourrait vous permettre de comprendre aux pulsars, aux trous noirs, à la gravitation. Toutes choses dont elle n’aurait même jamais pu entendre parler sans la physique moderne, laquelle est est l’aboutissement d’une démarche de connaissance des plus rationnelles.
    Apparemment, vous vivez encore au VIIe siècle, et vous n’allez pas tarder à nous expliquer que la terre est plate. Voir ici :
    http://resistancerepublicaine.eu/2016/09/02/la-terre-est-plate-agregee-mais-musulmane/



  • Christian Labrune Christian Labrune 16 décembre 2018 11:45

    ERRATUM
    Les Méditations métaphysiques de 1674

    De 1647 et non 74 ! J’ai interverti les deux chiffres, et on l’aura probablement compris. Excuses.



  • Christian Labrune Christian Labrune 16 décembre 2018 01:19

    Il est bien possible que les dernières semaines de décembre soient un peu plus calmes, mais rien n’a été réglé. De toute évidence, la confiance est définitivement perdue. Quand les godillots à la botte de Macron se rassurent comme ils peuvent en distillant les très pauvres éléments de langage auxquels on peut douter s’ils croient encore, on voit bien que le mois de janvier sera excessivement chaud.

    Il avait été question, très imprudemment, de commémorer le cinquantenaire de 68. En fait, c’est bien mieux, c’est une réédition, et qui risque d’être beaucoup plus torride. Les trente glorieuses et les fantasmes utopiques qu’elles avaient fait naître sont bien loin désormais, et depuis l’apparition de la nouvelle pauvreté sous le règne de l’homme à la francisque, on serait plutôt dans les quarante misérables, et dans un état qui, de surcroît, a perdu peu à peu toute souveraineté.

    Les pitoyables marionnettes qui font encore semblant de gouverner la France, quand elles le voudraient, ne seraient même plus capables de redresser la situation. Dépassées par les événements, comme en Italie et comme en Allemagne, elles vont céder la place à des organisations qui prétendront incarner les volontés de la nation jusqu’à ce que, bien installées partout, elles s’affranchissent des principes démocratiques qu’on aura vu progressivement se corrompre.

    Dommage qu’on ne puisse pas encore changer de planète !



  • Christian Labrune Christian Labrune 16 décembre 2018 00:20

    à l’auteur,

    Votre publicité pour Dieu (j’espère qu’il vous paie confortablement) est tout à fait hors de saison et fait très clairement apparaître que cette sinistre entité ne peut exister que pour des esprits très confus et qui ne savent même pas de quoi ils parlent.

    « Dieu, s’il savait, serait un porc », disait le très mystique Georges Bataille.

    Et l’Immaculée Conception, qui m’est apparue encore cette semaine, comme tous les mercredis, dans la grotte des Buttes-Chaumont, me confiait encore :

    « Qu’il aille se faire foutre, ce sale violeur ». Apparemment, elle n’a toujours pas digéré le fait d’avoir été engrossée par le Saint-Esprit. J’avoue que je la comprends un peu.



  • Christian Labrune Christian Labrune 16 décembre 2018 00:08

    René Descartes rappelle dans l’introduction au « Discours de la méthode » que chacun mesure sa raison dans la mesure de la sienne. Chacun se targue de posséder suffisamment de raison dans la mesure qu’il ne juge qu’avec elle. Si vous refusez le fait que vous croyez ou ayez la possibilité d’avoir tort, alors vous vous refermez sur vous-même. L’obsession du succès de l’ego s’oppose à l’entendement de ce Monde.

    =====================================

    Ce qui est écrit là n’a aucune espèce de sens. Descartes considère que « le bon sens est la chose du monde la mieux partagée », et le bon sens, c’est la raison. Descartes, père du rationalisme moderne, est tout à fait à l’opposé de la croyance et de la foi. Les Méditations métaphysiques de 1674 commencent par le doute hyperbolique. Il ne sait pas s’il y a un monde. Il ne sait pas s’il existe, il n’est sûr de rien jusqu’à l’expérience du cogito : « Je pense, je suis, cela est indubitable ». C’est la reprise, un peu modifiée, du « cogito ergo sum » déjà présent dans le Discours de la méthode de 37.

    Si Descartes, instruit des difficultés rencontrées par Galilée, pose la nécessité de séparer la philosophie et la religion et semble, par là, rejoindre le fidéisme d’un Montaigne, c’est seulement par prudence, et les cartésiens ne s’y seront jamais trompés.

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