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easy

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59 ans
Eurasien
Déçu

Tableau de bord

  • Premier article le 17/11/2009
  • Modérateur depuis le 16/07/2010
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Derniers commentaires



  • easy easy 7 novembre 2009 22:24



    Je ne vois pas bien pourquoi on a utilisé la métaphore du mille-feuilles puisque je n’en ai encore jamais vu d’écrasés.
    J’aurais trouvé plus logique d’en appeler à ce qu’on fait au karaté lorsqu’on vise le créneau de la casse de briques ou de tuiles à mains nues.
    Le principe consiste alors essentiellement à empiler des tuiles ou briques en interposant systématiquement une petite cale d’environ un cm d’épaisseur.
    Cet espace est indispensable.

    Le casseur doit alors surtout casser la première brique.
    Une fois la première brique cassée avec sa main la plus contractée possible, les deux morceaux de cette brique sommitale vont se précipiter sur la seconde en étant encore poussés par la main

    Ce qui arrive sur la seconde brique, ce n’est plus une main faite de muscles et de peau molle, mais deux moitiés de briques fortements lancées. La seconde brique a donc à encaisser un choc du même ordre que celui que provoquerait un marteau.

    Or il est très facile de casser une brique (posée sur deux cales) en lui assénant un petit coup de marteau au milieu.

    Dans le même principe, avec nos mains nues, nous ne parvenons pas à briser une glace en verre trempé dans un car ou un train alors qu’avec un minuscule marteau pointu qui envoie un choc sur un point, la vitre éclate en mille morceaux (Parce que c’est du verre trempé, comme pour les abribus)


    Posons que tout l’immeuble WTC soit en pleine forme, hormis l’étage impacté par un avion.
    Cet étage est, d’une manière ou d’une autre, affaibli.
    Qu’il puisse résister pendant une heure après un choc destructeur de piliers est déjà une belle performance. Qu’il puisse résister une heure en subissant en plus un incendie permanent (Aucune baisse de fumées relevée, donc feu constant) est une autre très belle performance.

    Qu’après une heure de ce mauvais traitement, les piliers ou colonnes de cet étage (Que ce soit du béton armé ou des poutrelles aciers) faiblissent au point de ne plus pouvoir supporter les dizaines d’étages supérieurs, n’a rien d’étonnant.
    Il va de soi, que plus l’impact des avions sera bas, plus la durée de grâce sera courte.

    Une fois qu’on a un étage affaibli, que la masse supérieure lui tombe dessus, que cette masse supérieure, tombée entière lors des 4 premiers mètres et arrivant avec une vitesse qui lui donne une énergie cinétique 1/2 MV² où V² vaut 2. g.h. et où h est de l’ordre de 4m (hauteur d’un étage, je le dis au pif), que ça fait V²= 80, donc l’énergie cinétique est 40 fois plus importante que la masse initiale immobile, et qu’avec cette énergie 40 fois anormale, qui lui tombe dessus, l’étage d’en dessous cède aussitôt (et non 6 secondes après), n’a rien d’extraordinaire.

    Ce qui aurait été extraordinaire, ça aurait été qu’à la suite de l’effondrement de la masse des étages supérieurs, l’étage en feu ne bronche pas.



    Fabriquez-moi un empilement de 50 étages, construits avec des pilers de béton ou d’acier nu, le tout conçu pour supporter encore 25 étages de plus, le tout étant dimensionné pour pouvoir supporter théoriquement encore 40 étages de plus (qu’on ne construira pas, mais c’est histoire de prévoir une marge de solidité)

    Et bien si je soulève les 25 étages de 4m et que je les lâche sur les 50 d’en dessous, il y a de très fortes probabilités que tout finisse en miettes.

    Une assiette de cantine est hyper solide, Si on la place à l’envers, un gus de 100 kilos peut monter dessus, sans la casser.
    En proportion de son poids ou de son volume, elle est beaucoup trop solide pour être comparé à un plancher d’immeuble.
    Il faudrait plutôt prendre des ardoises de toiture. Prenons donc une ardoise de toiture, posons ses deux bords sur cales, nous découvrirons qu’elle peut supporter 4 ou 8 kilos posés au centre avant de casser (Disons qu’elle supporterait 10 fois son propre poids, ce qui serait déjà une belle performance)
    Et bien si on me fabrique un petit empilement de 100 ardoises -toujours intercalées-Je suis certain que si je soulève de 4 cm les 25 plus hautes et que je les lâche, les 75 ardoises d’en dessous vont toutes exploser 

    Ce qui est dément c’est de prévoir qu’il aurait fallu 6 secondes entre les étages
    Comment peut-on penser une chose pareille ?
    Dès que la masse supérieure tombe sur le plancher en feu (et elle tombe en chute quasiment libre, quasiment sans freinage) Le choc brise l’étage en feu, la masse énorme poursuit son bélier vertical à la vitesse d’un corps en chute libre à peine freiné et ainsi de suite. Ce qui fait que l’immeuble s’effondre quasiment aussi vite que chuterait une pierre lâchée de cette hauteur.

    Le durée d’écrasement d’un étage est alors de l’ordre d’une fraction de seconde et non de 6 secondes.


    Pour que les vidéos confirment ma vision, il est indispensable qu’elles montrent une chute des étages supérieurs en un seul bloc, que seuls les étages inférieurs explosent les uns après les autres (Ca on a du mal à le voir à cause de la poussière) 

    Si vous voyez, comme moi, le bloc supérieur tomber en une seule pièce (Pendant les 4 premiers mètres de chute seulement, car dès le premier choc il y a bris aussi bien des étages supérieurs que des étages inférieurs) 
    Voyez-vous, oui ou non, et pendant la première seconde de chute, les étages supérieurs rester liés entre eux, en un seul bloc ?

    Si votre réponse est oui, si vous ne constatez d’émiettage qu’après la compression de l’étage en feu, c’est que les tours se sont effondrées naturellement.
     Exit la thèse du complot avec charges placées dans l’immeuble.





     Une tour c’est 99% d’air situé entre les étages. Quand cet empilement de plateaux s’effondre, c’est, en quelques secondes un énorme volume d’air qui est comprimé et qui doit exploser. Faites tomber un livre bien à plat sur le sol depuis 4m de hauteur, ça va claquer comme un coup de fusil et les poussières du sol seront explosées au loin.
    Comment peut-on s’étonner qu’une telle explosion d’air comprimé ne fasse pas un tel nuage de poussières ?
     (Il paraît que bien des immeubles alentours ont eu leurs vitres brisées par le souffle qu’a provoqué cet air comprimé et cela malgré l’étalement dans le temps puisqu’il y a eu non simultanéité des compressions sur tous les étages mais succession)






    Les morceaux trouvés seraient petits ?
    De quoi parle-t-on exactement ?
    Si l’on cherche des gros morceaux de béton après des 110 énormes coups de bélier, c’est qu’on n’a jamais bossé dans le bâtiment.
    Si on cherche de gros morceaux de ferraille, on peut en trouver, encore que l’acier sait aussi se déchirer. Vous n’avez jamais vu des voitures coupées en 2 à la suite d’un accident ? Moi si.




    On n’aurait pas retrouvé le compte des tonnages théoriques dans le tas de débris ?
    Bin, il faut ajouter le poids de l’énorme nuage de poussière et on aura des chances de retrouver nos petits (Mutatis mutandis, je rappelle qu’un cumulo nimbus maintient en l’air des millions de tonnes d’eau)









    L’effondrement de la tour 7 ?

    Il s’est produit deux fois 110 coups de bélier représentant chacun des énergies considérables contre le sol.
    220 séismes sans qu’une tour voisine, ayant subi un incendie de contagion ne s’effondre elle aussi, aurait été un miracle.


    Tu fumes un clope dans la tour 7, tu vois les 2 tours voisines, qui font chacune 110 étages, s’effondrer en faisant trembler le sol. Tu fais quoi ? Tu restes à regarder peinard ou tu te dis ’’Punaise, ça va foutre en l’air les fondations de mon petit immeuble, faut que je dégage de là vite fait’’  ? Hein ?



    Un jour, j’ai voulu abattre un mur de 40 cm d’épaisseur entre deux écruries.
    J’avais commencé au marteau piqueur. Galère, de chez galère pour retirer à peine une poignée de gravats.
    Je change alors de technique. Dans une des deux pièces, je suspends à la charpente, une poutre horizontale pesant peut-être 200 kilos. Puis je la lance exactement comme un bélier d’attaque de château-fort, contre le mur à abattre. Au troisième impact j’avais déjà une béance de 2m de diamètre.












































  • easy easy 7 novembre 2009 20:05

    Lorsqu’on est un familier de la danse, on ne voit pas grand chose de ce que Paul Villach dit voir.

    En danse moderne, pour une grande part, on s’attache à créer de la forme ( ou de la pose) inédite et remarquable. Et la plupart du temps, une pose donnée n’a pas de sens convenu.

    Prenons Maurice Béjart dans les années 70. S’il demandait à un danseur de se mettre façon crabe avec les jambes ainsi ouvertes et genoux pliés, (mais généralement avec le buste redressé et avec les bras écartés à l’horizontale par exemple ; ce qui fait encore plus crabe) c’était pour produire une forme jamais vue jusque là (Le classique interdisait ce genre de pose disons désarticulée ou trop animale) 

    [ Je rappelle ici le scandale (Et l’innovation) qu’a constitué le fait que Stravinsky ait osé produire pour le Sacre du Printemps une musique désarticulée, non harmonieuse]


    Une fois cette forme crabe -que Béjart avait inventée- devenue trop connue, le jeu consiste à en trouver une autre et c’est ainsi que de recherche en recherche, quelqu’un a eu l’idée de celle-ci

    Mettons qu’au départ, le chorégraphe ait l’idée de réaliser un crabe où chacun des quatre membres ne toucherait le sol que par une pointe effilée (Le grand défi de la danse c’est de léviter. On y a l’obsession de donner l’impression que le danseur s’affranchit de la pesanteur) 
    Il chercherait donc un bout de ferraille à mettre au bout des bras et pourquoi pas au bout des jambes aussi. On se retrouverait avec un ’’échassier’’ à 4 échasses.

    Cherchant alors le moyen de réaliser des échasses pour bras, il se rendrait compte que des cannes anglaises font parfaitement cet effet. Alors allons-y, demandons à un danseur de bouger avec des pointes classiques aux pieds et des cannes anglaises aux bras pour voir ce que ça donne. On découvre alors un énorme univers de gestes, mouvements et formes nouvelles. (Idem si on s’ajoute des ressorts au bout des membres)

    Pendant cette recherche arrivent ce genre de pose crabe et le créateur remarque que seule la tête dépasse du tronc sans être prolongée d’une pointe. Il se dit ’’Bin yaka ajouter une sorte de béquille pour la tête.

    Et voilà comment on en arrive à cette pose étonnante.



    Il va de soi, qu’une fois qu’on a fait cette trouvaille, on peut se mettre à gamberger à un ballet ayant pour thème quelque chose autour des ’’vrais handicapés que seraient ceux qui se croient valides’’ par exemple.

    Dans un tel ballet, les cannes ne chercheront pas à dissimuler leur dimentions orthopédique.

    Alors que dans un ballet optant pour un thème plus ’’insecte’’ on maquillera sans doute toutes ces pointes pour leur donner une apparence de pattes de sauterelles par exemple.


    Non vraiment, les danseurs, ne serait-ce que pour s’échauffer, passent beaucoup de temps avec les cuisses ainsi écartées et le grand écart est le minimum syndical qu’on exige de tout danseur.




    Cela dit, un chorégraphe ne doit pas perdre de vue que le tout venant du public peut immédiatement y voir plus de bidulerie sexuelle que de poésie-esthétique.
    Mais que doit-il faire alors ?
    Renoncer à montrer cette pose parce que des Paul Villach vont y métonymer à tours de bras en toute mise en abîme intericonique paradoxalosexuelle ?


    Non, visiblement la rédaction de ce magazine a considéré qu’elle s’adressait aux initiés point. Leszotres, bin qu’ils rament ou s’excitent en cherchant à comprendre quelque chose à ce geste purement esthétique et tant pis pour eux

    Lorsque Christo a emballé le Pont-Neuf et d’autres choses, il ne fallait rien y voir d’autre que la création d’un spectacle insolite, jusque là jamais imaginé par quiconque., même pas en rêve.



    Bin là c’est pareil.





















     



  • easy easy 5 octobre 2009 23:49

    Tant qu’un système distribue des os à une masse de gens qui se savent médiocres cette masse se tient tranquille.
    En France, jamais l’Etat n’a redistribué autant d’os à autant de gens, qu’aujourd’hui.



  • easy easy 26 septembre 2009 12:42


    Le diable étant dans le détail, chipotons.

    Le crépuscule est le moment qui précède le lever du soleil ou qui succède à son coucher. A ces deux moments là, les rayons du soleil ne nous touchent plus, ils ne touchent que le ciel qui nous éclaire alors par diffusion.

    Comme ici Bernard cherche à nous démontrer la fin de notre civilisation, il a utilisé crépuscule au sens du coucher, de fin du jour, de fin de l’été, de l’entrée dans La Grande Nuit après son Grand Soir à la Nicolas Fouquet.

    Mais comme si les mots contenaient toujours un sens caché, un ressort mystérieux permettant de tout chambouler, son crépuscule qu’il voulait apocalyptique offre malicieusement quelque chose de vespéral, de printanier.

    Fatigue pareil. Si on peut voir dans ce mot ; l’Ultime Fatigue, on peut aussi bien voir celle qui annonce le sommeil du juste et non celui du fautif.

    Quant à la photo d’AV lui a choisie, elle montre donc un coucher ou un lever de soleil et non un crépuscule, ce qui constitue encore une malice contra-riante de plus.

    Y figure un voilier de tourisme.

    J’imagine que le photographe qui avait pris cette photo y voyait quelque chose de beau. Mais il se trouve qu’un voilier de tourisme représente un comble de pollution. Certes, il avance surtout à la voile et ne fait pas de bruit, mais pour le fabriquer et pour l’acheter, il faut massacrer pas mal d’hectares de Planète Bleue.


    Les voiliers ont bonne presse. Je n’ai encore jamais vu quiconque s’en prendre à eux. Ils représentent pourtant le paradigme du gâchis. Disons qu’ils jouent un peu le rôle de nos antidépresseurs. Nous cherchons le calme sur l’eau parce que nous nous sommes trop énervés sur terre.

    La voile est une médication fort coûteuse. L’inox, très présent sur un bateau, contient 17 % de chrome, 10 % de Nickel, et encore du Molybdène, toutes choses fort coûteuses sur tous les plans, dont le plan écologique.
    Quant à la résine de polyester...

    Et de même que la terre est polluée de bitume et de parkings, le littoral est pollué des ports de plaisance qui n’ont rien, vraiment rien de charmant.

    Comme quoi, comme dit Bernard, tout est qestion de lentilles ou de focale.














  • easy easy 22 septembre 2009 21:32



    A Pigripi,

    « Alors vouloir promouvoir une prostitution spécifique pour un certain modèle de handicapé qui conviendrait au marché, c’est encore du marketing » ;

    Sans aucun doute, il est possible de considérer que la présentation d’un concept de service érotique à la carte relève d’un principe de marketing

    Mais si c’est le cas alors convenons qu’on en serait qu’au tout début du début de cette campagne.




    Il y a une autre campagne de marketing nettement plus ancienne, qui remonterait à trois siècles ^peut-être, celle de l’amour vrai.

    Je ne suis pas compétant pour dire quand on a commencé à exposer que le comble du bonheur était de trouver l’amour vrai mais ça ne remonte pas à la nuit des temps. Il y aurait peut-être le cas Marc Antoine et Cléopâtre pour nous prouver que l’amour vrai existait mais à part ça, faut chercher dans les mythes et autres Taj Mahal

    Quoi qu’il en soit, pour quelque chose qui serait censé être disons naturel, c’est pas croyable la quantité de marketing qui est fait dessus. Pourquoi un sentiment ou plutôt un état sentimental, posé comme naturel a-t-il besoin d’autant de pub ?

    S’il y a aujourd’hui un marketing géant, tellement géant qu’on ne le voit plus, c’est celui de ’’l’amour vrai, sincère bla bli bla blo’’ 
    Personnellement, je l’ai connu, pendant 20 ans, c’était très puissant ; Mais je réalise aujourd’hui que mon ravissement tenait au fait que je touchais à quelque chose présenté comme quitescence de tout.
    Autant ce sentiment était puissant et m’a fait faire plein de bêtises, autant je ne suis pas sûr qu’il aurait existé sans mille et un bourrage de crâne convergeant vers la recherche de cet idéal ’’Trouver l’âme soeur’’



    Je suis depuis mon enfance dans la Bouteille, alors je ne suis pas capable d’affirmer si ma passion amoureuse était le résultat d’un bourrage de crâne ou si je l’aurais eue en rencontrant ma belle sur une île déserte et depuis ma naissance.

    Aimerais-je les Harley et les femmes aux longues jambes sans le bourrage de crâne ?
    Aimerais-je l’amour sans le marketing de l’amour ?

    Si vous voulez aller à un concert et qu’on vous annonce que tout est vendu, vous êtes obsédé à l’idée de trouver quand même une solution ; Si vous parvenez à trouver un billet, vous allez le payer très cher et vous irez au spectacle en étant sur un nuage. Autant dire que vous en sortirez super heureux, jamais déçu.

    Dans mon cas, ma passion amoureuse a carrément été de plus en plus forte au fil des années mais je dois vous dire que c’était un amour interdit. L’interdit étant alors comme un défi, il se pourrait qu’il ait des ressorts communs avec le marketing qui provoque un rêve interdit à notre portefeuille et nous oblige à sacrifier quelque chose de basique pour l’obtenir. Moi j’ai tout sacrifié pour cette passion et c’est peut-être ce qui l’a fait durer.

    En dehors donc des cas d’amours interdites, il paraît qu’elles ne durent pas bien longtemps. Si l’amour présenté comme fabuleux retombe en soufflé, c’est peut-être parce qu’il n’est que de marketing.


    Si j’ai raison, ne serait-ce que partiellement, alors il conviendrait de dire désormais que s’il reste indispensable de vivre ensemble pour élever des enfants, les besoins sexuels peuvent être aussi satisfaisants lorsqu’ils sont échangés sans tralala.



    Ce n’est que si on parvient à dépiédestaliser ou à démystifier l’Amour, que toutes nos vieilles habitudes de dénigrer la protitution ou les échanges entre deux portes cesseront

    Je ne sais pas comment on résoudrait le problème de l’éducation des enfants, mais si on banalisait l’amour en n’en faisant pas une telle salade, si on pouvait entrer dans des relations amoureuses en convenant que ça ne dure vraiment pas longtemps, il me semble que les choses seraient bien moins compliquées.

    Du coup, les handicapés en tous genres qui, entretront dans des ’’petites relations affectueuses" ne ressentiront pas qu’ils sont condamnés à passer à côté du Grand Soir.
     
    Je souhaite le témoignage de personnes n’ayant vécu jusqu’ici que des petites amourettes. Nonobstant l’éventuelle frustration de n’avoir pas connu le soit-disant Grand Amour dont le marketing nous rebat les oreilles, leurs aventures éphémères ne seraient pas tout à fait satisfaisantes et suffisantes ?







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