• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

Tableau de bord

  • Premier article le 08/11/2006
  • Modérateur depuis le 03/09/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 13 3482 265
1 mois 0 13 0
5 jours 0 2 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 441 238 203
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Jason Jason 16 décembre 2007 09:44

    @ Caramico

    Auxquels j’ajouterai : globalement, tout à fait, basiquement, obsolète, acronyme (sigle signifie la même chose), sponsor (commanditaire), et bien d’autres. Autant de « modes » verbales.



  • Jason Jason 15 décembre 2007 10:27

    Pardon, il fallait dire : inclure les contrats pour les soumettre au fisc, et non l’inverse. Lapsus.



  • Jason Jason 15 décembre 2007 10:24

    Merci Sylvain, pour cette mise au point. Je voulais exprimer la déception que j’ai ressentie quand M. Strauss-Kahn a appliqué des mesures fiscales aux contrats d’assurance-vie dans les années 90. Les choses étaient bien plus simples avant sa décision. Le système en place permettait aux petits épargnants de se constituer un complément de retraite, la défiscalisation constituant un élément incitatif. Les intérêts reçus étant autour de 6%, on ne pouvait parler de spéculation effrénée. Mais le magot était trop beau, et l’état s’en appropria une partie. Les plus gros capitaux, eux, s’enfuirent à l’étranger, comme toujours dans pareilles circonstances.

    Quant à la procédure permettant de retrouver les héritiers d’un contrat d’A.-vie, il semblerait que les propositions que vous indiquez feraient l’affaire. Mais pourquoi a-t-on attendu si longtemps pour traiter ces contrats en déshérence ? Je me méfie des projets pilotés par un ministère quelconque en la matière. Cela revient le plus souvent à construire des modèles très lourds et peu efficaces. Et également, je vois pointer à l’horizon la tentation pour l’état d’exclure les contrats d’A-vie de l’avoir successoral.

    Cordialement



  • Jason Jason 14 décembre 2007 18:40

    A Gilles, Oui d’accord. Les personnes qui ne peuvent exprimer une pensées hypothétique ou conditionnelle connaissent un grave handicap. Quant à mon évocation de l’époque de Montaigne, c’est pur badinage et rappel d’un temps où la langue était très libre et n’empêchait pas d’écrire des chefs-d’oeuvres.

    Cordialement



  • Jason Jason 14 décembre 2007 17:47

    A Zen et quelques autres. Le conditionnel ? Ne vous chaille ! Quand j’enseignais le français (qu’au demeurant je connais fort mal) à des étrangers, je leur donnais la recette suivante pour exprimer une condition, simplement. Présent + futur : s’il vient je lui parlerai. Imparfait + conditionnel : si ma tante en avait, elle s’appellerait mon oncle. Troisièmement : s’il était venu je lui aurais parlé.

    Ayant bien éclaté de rire à l’explication du deuxième exemple, ils gardaient à l’esprit les trois phrases et s’en trouvaient très bien.

    Les linguistes ne sont pas du même avis que les usagers pointilleux, les précieux et les snobs, pour qui le « bien dire » et bien écrire sont restés un signe de classe. Allez faire un tour du côté de la grammaire historique. Ce qu’on entend aujourd’hui n’est rien. Quant au reste, toute la cuisine des puristes, cela peut servir de référence, avec la fameuse dictée de Mérimée. Mais qu’on laisse les gens parler d’abord, et si on ne peut l’exprimer en français, qu’on le dise en gascon, comme le conseillait Montaigne. De toutes façons, nous avons l’Académie française, alors de quoi se plaint-on ? Dans cinq siècles, Il faudra bien donner du travail aux archéologues, aux scribes et aux linguistes...

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv