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Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

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  • Premier article le 08/11/2006
  • Modérateur depuis le 03/09/2011
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Derniers commentaires



  • Jason Jason 18 juin 2007 13:29

    Excellent. Continuez cette logothérapie. Ne cherchez pas et vous trouverez. En attendant, vous avez un bon talent pour l’écriture.



  • Jason Jason 18 juin 2007 13:06

    Bonjour,

    La question de savoir si la France devrait opter pour une autre voie me semble tout à fait pertinente. La cohabitation européenne n’étant pas obligatoire, rien n’empêche de remettre sur le métier l’adhésion de la France au club. Mais avant cela il faut dresser un inventaire ou une matrice de décisions. Cela existe-t-il aujourd’hui ?

    Existe-t-il un mouvement dans ce sens ? Merci de nous mettre sur la voie.

    Cordialement



  • Jason Jason 18 juin 2007 11:29

    Le serpent de mer, qui n’avait pourtant pas entièrement disparu est de retour dans l’actualité. Se mettre d’accord à 27 sera difficile, voire impossible. Agiter l’épouvantail de la concurrence asiatique ou latino-américaine, on y est habitués. Soit on s’aligne sur eux avec une économie de marché sauvage, soit on crée nos propres critères et fixons nos positions, surtout économiques. La puissance financière, politique, économique et démographique de l’Europe nous le permettent. Quant à ceux des 27 qui sont trop mécontents, qu’ils s’en aillent. Rien ne les retient sinon l’aspect purement économique (aides, échanges commerciaux).

    Quant à l’opacité dont vous parlez, elle est nécessaire. Vous savez très bien qu’un projet bien ficelé et bien préparé (et dans la plus grande discrétion) aura plus de succès qu’un beau déballage verbal de tribune qui se fait descendre en vol. Si vous allez à la chasse, laissez votre tambour à la maison !!

    Les USA, ne pouvant influencer le cours économique de l’Europe comme ils le souhaiteraient, càd. en faire un satellite plus docile, se sont invités, via la porte discrète de l’OTAN et deux pays de l’est, dans le programme de défense de l’Europe et enfoncent un coin malsain dans ces régions. Puisqu’on s’entend déjà si mal, autant en rajouter un petit peu...



  • Jason Jason 17 juin 2007 19:37

    Vous faites absolument fausse route en nommant subvention la répartition de charges, ou encore la distribution des coûts de fonctionnement d’une société sur certaines classes (au sens statistique et économique du terme). Cette terminologie ne cadre pas du tout avec les explications argumentées que vous donnez ailleurs. La notion de subvention est trop galvaudée et utilisée à mauvais escient. Mais bon, c’est votre droit.

    Quant à l’assurance accident que j’ai évoquée, cela mérite des développements plus conséquents. Il s’agissait du cas dans lequel une entreprise décidait, unilatéralement, de la valeur de la vie de ses employés. Cela dans le contexte de création d’unités de compte hors du travail salarié ; mais c’est une autre histoire.

    Cordialement



  • Jason Jason 16 juin 2007 13:59

    Bonjour Chimère, réf. votre billet du 16 à 11h33 :

    Je sors une phrase, hors de son contexte, il est vrai. Vous dites « savoir si un impot est principalement supporté par les personnes aisées, subventionnant ainsi les moins aisés. »

    Le mot subvention est ici mal approprié. Une subvention est une somme attribuée pour un but, un domaine, des effets, précis. Or, tel que vous employez ce terme, on devine aisément une arrière pensée empreinte de jalousie et d’amertume, ou encore d’un esprit comptable très abusif.

    Le fait de vivre en société a un coût. C’est la participation sociale aussi bien qu’économique qui est inhérente au "vivre ensemble. En suivant votre raisonnement, vous pouvez dire que : les personnes sans enfants subventionnent ceux qui en ont (écoles), les jeunes actifs subventionnent ceux qui sont à la retraite, ceux qui n’ont pas de voiture subventionnent ceux qui en ont une (infrastructures), le contribuable lambda subventionne les entreprises (via l’Etat : 60 Mds d’€), etc, les bien portants subventionnent les malades, etc.

    Votre raisonnement préconise un clivage social très malsain. Introduisez des unités de compte dans tout, et vous verrez que les choix ne sont pas simples. Et que les pauvres ne le sont que parce qu’ils sont volés par un système établi, qui perpétue l’escroquerie généralisée dont ils sont victimes. Le prix d’une vie humaine en cas d’accident du travail, aux USA, dans les années 60, c’était US$ 5.000. Pour vous, c’est combien ?

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