Pascal L

@Gollum
Vous avez tous le symptômes du pervers narcissique mais je pense qu’on vous l’a déjà signalé. Ce que vous écrivez n’a d’intérêt que pour bien comprendre ce type de comportement.

@Gollum
Mais qu’est-ce que vos monologues ont apporté au monde pour que je vous réponde ?
Votre responsabilité ne vous pose pas de problème, sauf que face à Dieu, pour recevoir le salut, il vous faudra aimer vos ennemis, demander pardon à ceux à qui vous avez fait du mal et pardonner ceux qui vous ont fait du mal. Cette idée, je le sens, ne devrait pas avoir votre approbation. Mais comment vivre une éternité à côté de personnes que l’on ne peut aimer ? cela peut vite tourner au cauchemar. C’est pour cela que St Augustin disait que l’enfer est le paradis des orgueilleux. Il n’y a pas besoin de les forcer, ils le choisissent.

@Eric F
Vous définissez la vie par l’encéphalogramme, l’activité du cerveau au début et à la fin, C’est une définition mais pas une preuve. Après tout, vous n’avez pas d’autres outil pour cela. Mais du coup, vous balayez du revers de la main tout ce que vous ne pouvez pas comprendre et vous n’avez pas plus de preuves. Ne pas pouvoir tout expliquer est tout de même bien humain. Quand je parle de Dieu, je parle de phénomènes que je n’explique pas mais que j’observe. Le fait même qu’il est possible de les observer devrait nous conduire à la prudence sur l’interprétation. Le fait par exemple de recevoir une guérison instantané dans un contexte de prière est un sujet qui devrait susciter un étonnement. J’ai vu, par exemple, la guérison instantanée et annoncée d’un cancer du foie avec métastases et sans récidives. Idem pour une tumeur au cerveau. Les médecins, constatant le phénomène, n’arrivent pas à croire leurs propres analyses et demandent la poursuite d’un traitement lourd devenu inutile. Ne me demandez pas comment cela s’est passé, je n’en sais pas plus que le médecin, mais j’ai une idée sur les raisons de la guérison.
Le fait de recevoir une information sur notre futur que nous ne comprenons que lorsque ce qui a été annoncé se produit (cela m’est arrivé deux fois) est aussi étonnant. L’humain n’a pas accès à son futur et je peux certifier que je n’ai rien pu faire pour que cela se produise. Je n’en ai même jamais parlé avant des années pour être certain de ce qui s’est passé. Au début, je suis toujours sceptique comme vous, mais je ne ferme pas l’interprétation de ces signes à une préconception du monde. C’est la cohérence des signes qui forme la réponse.
Vous êtes donc dans une forme de croyance qui vous rassure face à l’angoisse de la mort. Vous avez l’impression d’être dans le groupe du bien qui « sait » et les autres sont des faibles d’esprit. C’est en utilisant ces mécanismes que fonctionnent les idéologies.

@Gollum
Comme disait Ste Bernadette : « Je suis chargé de vous le dire, pas de vous convaincre ».

@Eric F
Depuis les débuts de l’humanité, celle-ci dialogue avec des esprits. Le chaman peut guérir une personne en invoquant des esprits, les bouddhistes en font autant. Et pourtant aucun appareil scientifique ne peut mesurer ces effets. Et comme aucun appareil ne mesure rien, vous avez tout à fait le droit de penser que rien n’existe, mais ce n’est en aucun cas une preuve car les effets restent.
L’enseignement de Jésus est limpide pour ceux qui cherchent l’amour de Dieu et totalement obscur pour les autres. Jésus nous dit que vous êtes libre de le suivre ou pas et de fait il a fait en sorte que votre liberté ne soit gênée par rien, y compris par son enseignement à base de paraboles. Cet enseignement ne concerne d’ailleurs que la vie après la mort et si vous n’avez aucune espérance de ce côté là, peut-être que vous ne serez pas déçu.
Pour avoir beaucoup discuté avec des islamistes, des athées ou des gnostiques, j’ai compris que l’idée d’un Dieu qui a fait l’humanité par amour est rejetée par une grande partie de la population. Ce n’est pas tant l’idée d’être aimé qui gène, mais le fait que par amour, vous êtes libre mais aussi responsable individuellement de tous vos actes, des plus vils aux plus insignifiants. Personne ne veut assumer cette responsabilité, même si Dieu pardonne tout par amour. Ainsi, les islamistes veulent un Dieu puissant qui décide à leur place et les conduit dans la guerre. Puisque Dieu décide, il ne sont pas responsables. Les athées refusent l’idée qu’il puisse y avoir quelque chose au dessus d’eux pour les mêmes raisons et les gnostiques se sont fait dieux pour encore les mêmes raisons. 

Pour les chrétiens, la rencontre avec Dieu s’accompagne de signes sensibles qui signent la présence de Dieu. Ces signes sont la plupart du temps seulement sensibles pour la personne concernée, ainsi la liberté des autres reste préservée. Les guérisons, parfois spectaculaires, font partie de ces signes, la plupart du temps instantanées et accompagnées de paroles annoncées par des personnes qui ne connaissent pas la personne concernées. Si le sujet vous intéresse, vous trouverez des centaines de témoignages sur Internet. De toutes façons, ces signes ne sont donnés que pour des personnes qui se tourneront vers Dieu ensuite. Dieu a l’avantage de savoir à l’avance comment la personne réagira. Ces signes peuvent toucher des personnes non chrétiennes, mais celles-ci demandent toujours le baptême chrétien ensuite. J’ai ainsi accompagné vers le baptême plusieurs musulmans qui s’étaient convertis après avoir reçu ces signes.
Comme avec les chamans, les démons provoquent aussi des signes visibles lorsqu’ils sont confrontés à la présence de Jésus ou que la personne sous influence se tourne vers le christianisme. J’ai plusieurs fois assisté à ces signes, y compris, comme dans le film l’exorcisme, une femme qui prend une voix d’homme qui demande que les prières cessent ou une femme qui se roule par terre en présence de Jésus et il faut 5 personnes pour la maintenir et éviter qu’elle se blesse. Si la personne concernée le cherche, il est tout à fait possible d’expulser ces démons par la prière et des ordres impératifs au nom de Jésus. Tout le monde est plus ou moins concerné par la présence de ces démons. Il est de votre responsabilité de les laisser faire ou de les chasser.