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 C BARRATIER

C BARRATIER

Je travaille depuis l’âge de 18 ans auprès des enfants, successivement instituteur, professeur, permanent des Centres d’Entrainement aux Méthodes d’Education Active (CEMEA), principal de collège, proviseur de lycée, mais aussi responsable de rencontres internationales de jeunes en Avignon et dans des chantiers bénévoles, conseiller municipal avec un suivi de crèches municipales, d’un Conseil municipal des Enfants, de chantiers internationaux dans ma commune. Je suis aussi Délégué Départemental de l’Education nationale appelé à suivre régulièrement le fonctionnement d’écoles publiques ou privées.

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  • Premier article le 28/03/2009
  • Modérateur depuis le 15/02/2010
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Derniers commentaires



  •  C BARRATIER C BARRATIER 17 mars 2010 23:42

    Je réponds à l’auteur.
    Il ne faut léser aucune religion, aucun dieu, aucune déesse, puisque tous et toutes sont par définition éternels, donc tous et toutes vivants, vivantes.....
    Etudier le fait religieux c’est démontrer ses contradictions : dieu unique ? Et les autres tout autant immortels ? Et les si nombreux citoyens qui savent qu’il n’y en a jamais eu, et qu’il est donc impossible d’en montrer un, d’en inviter un (ou une)...La différence entre le savoir et le croyance, entre la science et la superstition. Moi j’enseignerais bien tout cela en étant neutre puisque parlant de tout !
    Une occasion de découvrir des mots nouveaux, d’accepter que personne ne détient une vérité religieuse valable pour les autres, à l’inverse des vérités scientifiques qui permettent l’expérimentation....la preuve....
    Le débat sera riche et intéressant.



  •  C BARRATIER C BARRATIER 13 mars 2010 18:29

    La sortie par le haut est le partage des richesses, car les privilégiés du libéralisme fait par eux et pour eux ne dépensent pas de la même façon que le citoyen ordinaire qui est d’abord un consommateur. Ce qui fait la richesse d’une économie, c’est l’argent qui circule.
    En France, en 10 ans le pourcentage de PIB allant dans la masse salariale est tombé de 70 à 60 %. C’est évidemment un manque à consommer énorme qui ne peut pas être compensé en consommation) par la concentration plus grande de la richesse entre peu de nantis : ils ne mangent pas 1000 fois par jour, ne font pas 1000 voyages par an, n’ont pas besoin de 1000 maisons pour se loger, ni de 1000 voitures, pourtant ils ont 1000 fois plus à dépenser.
    L’Etat a donné par ailleurs des milliards en cadeaux fiscaux aux mêmes, se contraignant à supprimer des postes de fonctionnaires consommateurs. La fabrique de chômeurs est le résultat de cette mauvaise répartition de la consommation....et c’est un cercle vicieux qui va encore faire chûter la consommation et fabriquer de nouveaux chômeurs.
    Nous sommes dans des politiques de profit immédiat pour les copains de ceux qui sont aux manettes, qui savourent leur revanche vis à vis des inventeurs de congés payés(scandaleux, non ?), de SMIC, d’allocations familiales, de retraites par répartition ou d’assurance maladie soignant à égalité les nantis et les autres. Pour eux, un scandale permanent.
    Il manque à ces gens là l’esclavage ou le pillage colonial. Si on les laisse faire, nous allons continuer la régression jusqu’à l’explosion plutôt que l’implosion (du moins je l’espère).
    Claude Barratier



  •  C BARRATIER C BARRATIER 13 mars 2010 16:04

    Intéressant, sans doute chaque réflexion individuelle a dû apporter à l’Humanité, j’ai, adolescent, pensé que le concept de Jésus portait l’égalité des hommes et le partage, et que ce concept « communiste » remontait à des temps lointains où les hommes existaient (dans leur pensée) comme des membres d’un corps social solidaire (une sorte d’homo collectivus, - pardon pour ce terme qui ne doit pas être dans le dictionnaire, mais fabriquer un mot peut être fabriquer un intéressant concept).
    Les religions monothéistes sont effectivement les plus dangereuses : il n’y a qu’un dieu, et c’est le mien. Elles ignorent les millions d’autres dieux et déesses qui pourtant sont par définition éternels, donc tous « vivants »....

    Je ne pense pas que les hommes soient par essence tourmentés par un quelconque mystère..qui n’existe pas : L’ humanité s’est dans une majorité de pays libérée de l’interdiction de savoir, on ne brûle plus les livres (sauf chez les talibans et quelques autres bien sûr). Je pense que pour les diriger, on n’hésite pas à leur faire peur : les grandes peurs, ça marche un moment (la fin du monde est la plus souvent brandie). Mais par essence humaine, les autoproclamés « sapiens » se libèrent de ces peurs en général totalitaires.

    Les médias du premier novembre reprennent volontiers le sujet du sens de la seule vie humaine. Une approche nombriliste bien sûr devant l’immensité de l’univers dont on interprète la connaissance provisoire d’abord avec la célèbre équation d’Einstein : E= MC2.

    L’énergie présente partout dans l’univers est égale à la masse que multiplie le carré de la vitesse de la lumière (300 000 x300000). C’est dire l’importance de l’énergie dans l’univers.

    Nous portons donc, quelle que soit notre masse, une quantité d’énergie que notre univers mental ne peut que trouver énorme. La vie, notre vie, est une forme particulière d’organisation de la matière et de l’énergie avec ses forces électromagnétiques, ses forces atomiques considérables.

    Dans un mouvement permanent de l’univers comme de nous même « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (le mot est de LAVOISIER).

    Rien n’indique nulle part que l’homme soit un cas particulier échappant à ces fonctionnements universels. Le minéral, le gazeux, le végétal, l’eau, le virus, l’animal, l’être humain existent dans une sorte de continuité dans le déploiement de l’énergie, dans ses transformations. Chaque partie accomplit son cycle, là est le sens de son état momentané, là est aussi le sens de la vie.

    Une harmonie avec ce que nous sommes et ce qui nous entoure, voilà le bonheur, le bonheur présent construit avec les autres composantes du monde, y compris les autres êtres humains.

    Le sens de la vie est cet accomplissement, et comme toute composante de l’univers, nous avons chacun et en groupe une fonction, un rôle, à trouver, à vivre pleinement : comprendre ce sens n’est pas le lui donner, n’est pas l’inventer, l’imaginer, mais bien le réaliser avec la part de hasard et de liberté que nous pouvons avoir.

    Nul doute à avoir : à notre place ni petite ni grande, notre place, individuellement et collectivement, nous participons aux cycles naturels que nous pouvons quelque peu infléchir.

    Cette conscience d’appartenance au tout, sans prétention et sans angoisse, sans ce concept de début et de fin que rien n’indique dans l’univers, rend heureux précisément si nous n’avons pas d’autre vaine prétention, comme de s’abstraire de ces cycles universels. Vivre pleinement le moment présent est donc l’important.

    Mais cela ne suffit pas : il faut résister sans cesse aux dogmatiques qui, refusant cet état de fait constaté, veulent périodiquement nous imposer leur conception : qu’ils la vivent pour eux est légitime, qu’ils nous l’imposent non. Leur résister est aussi s’inscrire pleinement dans une vie qui a du sens, dans toute sa diversité.

    Claude BARRATIER



  •  C BARRATIER C BARRATIER 9 mars 2010 22:13

    Il est important de comprendre ce qu’est notre système de retraite (qui ressemble à tous ceux de l’Europe continentale). Le point essentiel est que c’est du salaire. Lors de contentieux récents la cour européenne de justice a condamné la France qui touchant à la retraite touchait au salaire. On ne peut pas licencier un retraité, son salaire continué lui appartient à vie et un rapport a été fait entre son salaire d’actif et son salaire de retraité.

    Ce système tourne donc le dos à la retraite-placement financier personnel (fonds de pension).

    Pour les salariés du régime général, le problème était que l’entreprise devant le salaire retraite à vie pouvait disparaître. D’où la mutualisation par la sécurité sociale.
    Pour les fonctionnaires, l’Etat n’a pas voulu payer ses cotisations patronales à la sécurité sociale ; il est vrai que les états ne disparaissent pas.

    En 10 ans la part des salaires (avec pensions des retraités, avec cotisations patronales quand il y en a, ou abondement de l’Etat pour la fonction publique d’Etat, avec cotisations salariales) représente une masse salariale qui est passée de 70 % du PIB à 60 %. Cette spoliation des salariés publics et privés représente plusieurs fois le manque actuel pour financer les retraites. Mais en droit elles restent dûes par la Sécu ou l’Etat (ou la CNRACL pour les collectivités territoriales)

    Un autre concept existe, l’aide sociale aux vieux qui n’ont pas travaillé et n’ont donc pas de salaire dû. Il faut savoir que l’aide sociale est toujours distribuée sous conditions de ressources et en principe récupérable sur succession. Cette aide concenre les salairiés à petite retraite (minimum contributif) mais n’est pas soumis à recours sur succession.

    Nous devons au Conseil national de la Résistance que les salariéss ne soient pas à l’aide sociale. Et ceux ci ne se lasseront pas enlever ce droit, c’est sûr.

    Bien sûr ce système agace les banquiers : ils ne gèrent en rien ces sommes énormes qui ne passent pas par eux et qui justifieraient des royalties (salaires de PDG) si ces flux étaient des fonds de pension...Ils se serviraient, les joueraient en bourse comme ils l’ont fait partout, ruinant les retraités.

    Claude BARRATIER



  •  C BARRATIER C BARRATIER 6 mars 2010 19:10

    Une élection n’est jamais jouée.
    L’opinion publique est sensible à des articles de dénigrement faciles à mettre en place avant un sondage (dont personne ne peut vérifier la sincérité : questions posées, dépouillement.).. Aujourd’hui la manipulation de l’opinion publique est monnaie courante.
    Les médias sont aux ordres.
    Conclusion : si le pouvoir, allié aux plus riches de France s’acharne sur Ségolène ROYAL c’est peut être parce qu’il la redoute particulièrement. Sans la trahison des siens aux présidentielles elle passait. Pour qu’elle ne soit pas secrétaire du PS il a fallu que le camp AUBRY triche et lui vole sa victoire (les tripatouillages sont prouvés).
    Bref, je ne ferai quant à moi confiance ni aux sondages ni aux colporteurs de nouvelles non vérifiées....
    Un citoyen doit je pense douter systématiquement de tout ce qu’on lui présente, pour tenter d’être moins manipulé par ceux qui ont la finance pour le faire. L’argent roi, c’est aussi et beaucoup la manipulation de l’opinion.

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