• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Krokodilo

Krokodilo

Médecin généraliste, je m’intéresse à tous les sujets sur lesquels je n’ai aucune compétence, ce qui me laisse un large champ d’intervention. A l’époque où j’enquêtais sur les OVNI, j’ai percé le grand secret de la zone 51 : les extra-terrestres sont effectivement venus sur Terre, mais ils ont trouvé l’anglais trop difficile et sont repartis. Depuis, je m'intéresse à la question des langues, de la communication internationale et de l’espéranto.

Tableau de bord

  • Premier article le 06/12/2006
  • Modérateur depuis le 09/01/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 281 5992 16742
1 mois 2 123 70
5 jours 1 23 37
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 282 222 60
1 mois 2 2 0
5 jours 2 2 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Krokodilo Krokodilo 26 septembre 2007 14:12

    Docdory,

    Bien sûr que ces livres ont leur utilité, j’en ai moi-même quelques-uns. Ce que je critique, avec un zeste d’ironie qui peut déplaire, c’est que l’avalanche de livres ainsi titrés contribue à cacher la vraie difficulté des langues, et masque aussi l’absence d’une échelle de niveau qui nous permettrait de savoir de quoi on parle. Je ne conteste pas que tu aies fait des progrès rapides grâce à une méthode et à l’immersion linguistique en voyage, mais à quel niveau, par exemple sur le CECRL ? Le mot que tu emploies, « parfaitement » n’est-il pas un peu excessif dans le domaine des langues ?

    Par contre, en parlant de proximité des langues, tu confirmes implicitement qu’il est abusif de se comparer aux résultats scolaires des Norvégiens en anglais, parce que leur langue est germanique et plus proche de l’anglais, la deuxième raison étant qu’ils ont choisi l’anglais et mettent le paquet dessus, alors que nous avons longtemps défendu la diversité linguistique. D’accord aussi sur l’importance de l’immersion linguistique et le peu d’efficacité de l’apprentissage scolaire des langues vivantes.



  • Krokodilo Krokodilo 26 septembre 2007 13:59

    Boileau419,

    Il ne s’agit pas d’une critique du latin lui-même, mais la simple définition donnée par les dictionnaires quant à son statut actuel. Les locuteurs dont vous parlez sont quasiment exclusivement des universitaires, des profs de latin-grec, des enseignants ou des linguistes latinistes. Je n’ai pas d’autre expression dans mon lexique que « langue morte » pour qualifier une langue qui ne vit pas réellement comme les autres.

    Vous savez que personnellement, je penche plutôt pour la langue qu’on surnomme parfois (ce qui doit vous choquer) le « latin moderne », car à la limite je préfèrerais l’anglais au latin par simple flemme puisque je baragouine le « broken english », mais j’aborderai ce thème dans la deuxième partie, le plurilinguisme.



  • Krokodilo Krokodilo 26 septembre 2007 13:51

    En fait, on a parlé plusieurs fois de l’aspect financier, entre autres à la suite d’articles de Henri Masson, chaque fois qu’il a été question d’espéranto, et je le mentionnerai aussi dans la suite « Le plurilinguisme ».



  • Krokodilo Krokodilo 26 septembre 2007 13:48

    Derrick ? Ou la série espagnole « Un, dos, tres » où on danse au son des tubes anglophones ?



  • Krokodilo Krokodilo 26 septembre 2007 13:46

    Oups, mille excuses pour l’avalanche de fautes de frappes, j’étais pressé.

    Un message fort pertinent parlait de la violence et des scènes de torture. Finalement, les scénaristes ne nous parlent pas uniquement de la vision étatsunienne de la vie, mais aussi de nous-mêmes : quand Jack Bauer emploie la torture physique parce qu’il est pressé, que l’information est vitale pour éviter un énorme attentat (au minimum nucléaire, virus Ebola ou gaz neurotoxique !) , et qu’il est sûr et certain que le suspect détient l’info, ce n’est ni plus ni moins que la rhétorique qui a justifié en France l’usage de la la guerre d’Algérie.

    Et il faut savoir que nous avons exporté dans pas mal de pays le savoir-faire acquis en cette occasion sur les insurrections urbaines, voire sur les interrogatoires... Alors, ces séries ne nous parlent pas seulement des Usoniens, mais de la nature humaine et de nos civilisations. D’ailleurs, dans un des épisodes, quelqu’un demande à Bauer s’il n’a pas choisi cette carrière musclée parce que quelque part cette sauvagerie (action et danger intenses) lui plaît.. Il ne répond pas. Evidemment, selon le spectateur, on retiendra seulement tel ou tel aspect, Bauer contre les méchants, mais les scénaristes sont plus subtils. Il paraît que cette série est la préférée des généraux américains... C’est sûr qu’un pays qui aurait jack Ryan l’idéaliste comme président et Bauer comme homme de terrain serait à envier, mais ils n’ont ni l’un ni l’autre !

    Dans la dernière saison diffusée chez nous, le président américain est complice des attentats, ainsi qu’un haut responsable du lobby militaro-industriel et un milliardaire aux buts qui fleurent bon le pétrole : on ne peut pas appeler ça une vision idéalisée des USA, non ? Je ne suis pas sûr qu’en France on puisse envisager une série où le président serait aussi ambigu...

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv