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Krokodilo

Krokodilo

Médecin généraliste, je m’intéresse à tous les sujets sur lesquels je n’ai aucune compétence, ce qui me laisse un large champ d’intervention. A l’époque où j’enquêtais sur les OVNI, j’ai percé le grand secret de la zone 51 : les extra-terrestres sont effectivement venus sur Terre, mais ils ont trouvé l’anglais trop difficile et sont repartis. Depuis, je m'intéresse à la question des langues, de la communication internationale et de l’espéranto.

Tableau de bord

  • Premier article le 06/12/2006
  • Modérateur depuis le 09/01/2007
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Derniers commentaires



  • Krokodilo Krokodilo 8 février 2007 17:34

    Je crois qu’il s’agissait de la maladie d’Alzheimer, et non du parkinson ; ce serait trop beau si c’était aussi simple. Faire des mots croisés aussi entretient l’esprit, comme toute activité mentale. Méfiez-vous des prétendues « études scientifiques qui ont prouvé que », nombre d’études sont bidons, bâclées, biaisées, pleines d’erreurs méthodologiques, particulièrement les deux ou trois vieilles études qui pensaient avoir trouvé quelque chose dans ce domaine. (Divers liens sont indiqués dans mon article sur l’apprentissage précoce des langues)



  • Krokodilo Krokodilo 8 février 2007 17:19

    Effectivement, le mandarin est paraît-il facile par certains aspects, grammaire, dérivation logique, mais difficile par les idéogrammes et les tons qui changent le sens des mots. Remarquez aussi que je n’ai jamais dit que le français était plus facile que l’anglais. J’ai simplement contesté le cliché de l’anglais facile qui est utilisé depuis des années par le lobby (au sens large : l’ensemble des forces qui souhaitent voir l’anglais s’imposer comme langue véhiculaire de l’UE, et du monde).

    Initialement, la deuxième partie de mon article parlait justement de la comparaison de la difficulté des langues : existe-t-il des critères, est-il possible de les comparer ? Il a été refusé tel quel, d’où celui-ci qui ne parle que de l’anglais. La suite peut-être plus tard (quel suspense !) C’est exact que je m’intéresse à l’enseignement des langues depuis que je me suis mis à l’espéranto, et c’est fou combien le domaine des langues vivantes véhicule de clichés et de dogmatisme, d’affirmations passionnées mais basées uniquement sur des convictions.

    N’y a-t-il pas une contradiction dans votre message, entre « Tout ce que vous dîtes sur l’anglais est vrai, mais c’est aussi restrictif » et « Intéressez-vous donc à une langue non-artificielle et vous reviendrez sur votre jugement. » ? Pourquoi revenir sur mon jugement si c’est vrai ?

    Nous ne sommes pas les plus mauvais anglophones d’Europe : à ce jour, il n’existe aucune enquête sérieuse basée sur l’échelle de langue CECRL mise au point en 2001. Tous les commentaires tendancieux des médias sont basés sur les sondages d’Europa, qui se prêtent à toutes les manipulations. De plus, pourquoi tester le niveau en anglais ? Pourquoi ne pas tester le niveau en espagnol, français ou allemand des Anglais et des Suédois ? Il faut arrêter avec cette culpabilité française.



  • Krokodilo Krokodilo 8 février 2007 16:51

    J’ai déjà du mal avec « combien ces six saucisses ici, ces... c’est 6 sous, si... » ou avec « les chaussettes de l’archi-Duchesse sont-elles sèches », alors dans une autre langue... Je suppose qu’il existe de pareils exercices de diction dans toutes les langues.



  • Krokodilo Krokodilo 8 février 2007 16:16

    Effectivement, j’ai souvent fait la même expérience, je préfère baragouiner un « kitchen english » avec un touriste qu’essayer de comprendre un Irlandais qui croit que je parle bien parce que je prononce deux ou trois mots correctement ! Entre non-natifs, on articule davantage, on parle lentement (on cherche nos mots...), on évite les tournures idiomatiques (on en connaît très peu...), on est tranquilles quoi ! De plus, aucune raison d’avoir la honte, la difficulté des langues est très largement sosu-estimée : les gens ayant un niveau fluide sont très rares, et c’est toujours le fruit de circonstances particulières (familles biculturelles, expatriés, raisons professionnelles, etc).



  • Krokodilo Krokodilo 8 février 2007 16:06

    Effectivement, vous soulevez un point intéressant : peut-on comparer les difficultés des langues, existe-t-il des critères objectifs de difficulté ? Ce sera le sujet de mon prochain article, s’il est accepté. Cette discussion n’aurait pas lieu d’être si l’anglais était mis sur le même plan de difficulté que le français, par exemple, ou l’allemand. Mais comme ce n’est pas le cas, comme on nous rebat les oreilles avec ce cliché dans tous les médias, je trouve que la question posée dans le titre reste valable à partir du moment où cette supposée facilité de l’anglais est utilisée comme argument dans le débat sur les langues dans l’Union européenne.

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